C’est un fait, le constat des écarts financiers doivent automatiquement faire l’objet de la prise de mesures correctives. D’une manière générale, les intérêts que ces structures proposent aux investisseurs sont beaucoup plus gros et évoluent beaucoup plus vite que ceux de l’ensemble des business réels /traditionnels qu’ils mettent sur pieds. Autrement dit, les business sur lesquels ils comptent pour rentabiliser, génèrent beaucoup moins d’intérêt que les intérêts promis aux investisseurs. Marchés financiers, monnaie virtuelle, me diriez vous ! Néanmoins, la richesse / fortune réelle conditionnera toujours la fortune virtuelle et c’est un fait. Ce sont les business réelles, traditionnelles, stables et durables qui viennent consolider la richesse/fortune virtuelle.
Faut pas s’y perdre, dans ce contexte, la forte demande et la rareté donne de la valeur… Mais à l’opposé, la très forte demande et la disponibilité permanente viennent plutôt diminuer la valeur … Trouver l’équilibre est de ce fait extrêmement difficile, de toutes les façons l’investissement et l’endettement se partagent la même frontière , et cette frontière est extrêmement mince…
Toutefois, le cabinet CFP propose un ensemble de solutions pratiques et stratégiques à propos.
Yves Alain SECKE
Fondateur du Cabinet CFP
Consultant en Management financier
Livre guide sur la Réalité financière des fonds d’investissement au Cameroun (version numérique PDF) toujours disponible au prix de 5.000 FCFA au lieu de 10.000 FCFA + 30 minutes d’entretien sur la question.
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